Retrouvez notre nouvelle gamme de produits phytothérapeutiques pour soigner efficacement vos troubles du sommeil de manière naturelle
Fatigue au réveil, traits tirés, somnolences dans la journée, vos nuits sont agitées et votre sommeil non réparateur.
L’hiver est la saison du sommeil et de la récupération. De nombreux signes nous l’indiquent : le temps nocturne est plus long, les animaux hibernent, la nature nous apporte des fruits secs énergétiques et riches en acides gras et des légumes fortifiants et nourrissants.
Tous ceux qui souffrent d’insomnie, complète ou partielle, ceux dont le sommeil est perturbé ou agité, malgré leurs efforts, ne parviennent pas à profiter pleinement de l’opportunité qui leur est offerte en hiver.
Stress, anxiété, angoisse, réveil nocturne. Les causes de l'insomnie peuvent être variées. Mais en choisissant la phytothérapie, et les bonnes plantes, on peut favoriser l'endormissement et retrouver le sommeil.
Les troubles du sommeil sont généralement passagers. Ne vous jetez pas sur l’artillerie lourde. Essayez les méthodes douces ! La plupart des plantes présentent l’avantage d’avoir peu ou pas d’effets secondaires et de n’entraîner aucune dépendance.
Les plantes proposées contre les troubles du sommeil sont essentiellement des plantes aux propriétés sédatives (calmantes) telles que la valériane, la passiflore, le houblon, la mélisse et l’aubépine... Elles sont utilisées séparément ou dans des formules composées de plusieurs plantes. Ces plantes sont le plus souvent proposées sous forme de médicaments ou d’extraits en gélules, en comprimés ou telles quelles pour des infusions.
Les troubles du sommeil
Le sommeil est régi par 2 processus :
- Homéostatique : Propension au sommeil = besoin irrépressible de sommeil au fur et à mesure que la période de veille se prolonge.
- Circadien : Alternance jour/nuit = aspect rythmique du cycle éveil/sommeil : horloge biologique.
Cliniquement, il existe plusieurs types d'insomnies :
- Les difficultés d'endormissement
- Les réveils nocturnes multiples
- L'insomnie du petit matin (vers 3 ou 4h du matin)
- L'insomnie de la personne âgée par désorganisation du sommeil
- Le sommeil non réparateur
- L'insomnie en période de ménopause
On distingue d'une part les insomnies transitoires et occasionnelles, les plus fréquentes, qui durent de quelques nuits à plusieurs semaines. Elles peuvent être en relation avec un évènement survenu récemment (troubles du sommeil réactionnels) ou à venir (insomnie par anticipation anxieuse). Elles sont favorisées par les nuisances sonores, les soucis professionnels ou familiaux, une longue sieste, un décalage horaire. D'autres part, on retrouve les insomnies chroniques, définies par un sommeil perturbé pendant plus d'un mois.
Elles sont en relation avec des troubles anxieux caractérisés, et se traduisent fréquemment par des somatisations (manifestations fonctionnelles cardiovasculaires, digestives, musculaires).
Les troubles du sommeil traduisent un déséquilibre de la balance veille/sommeil, et peuvent correspondre à une désynchronisation des rythmes circadiens : la mélatonine joue ici un rôle prépondérant, en tant que médiateur chimique de la synchronisation des rythmes biologiques et modulateur des autres neurotransmetteurs, et de par son rôle neuroendocrinien et sur le sommeil.
Les troubles du rythme circadien
Il s’agit d’un dysfonctionnement entre les rythmes de veille et de sommeil.
Le syndrome des fuseaux horaires :
Il survient en cas de voyage rapide avec passage à travers plus de deux fuseaux horaires. On a notamment constaté que les voyages vers l’Est (qui avancent le cycle de sommeil) provoquent des symptômes plus importants que des voyages vers l’Ouest (qui retardent le cycle du sommeil).
Ces symptômes vont durer le temps de la récupération, variable d’un individu à un autre. La personne va être fatiguée, d’humeur irritable à cause d’un repos instable.
Les troubles dus au travail posté :
Ces troubles seront proportionnels à la fréquence de modification des horaires. Le sommeil est de moins bonne qualité, le bruit et la lumière interférant avec la période de repos; la période de sommeil est trop courte, on parle de “privation chronique”, avec apparition de troubles variés (irritabilité, dépression, troubles gastro-intestinaux).
L’altération de la phase du sommeil :
- Syndrome de retard de phase : le sujet se couche spontanément plus tard et, devant se lever à la même heure, va ressentir une privation de sommeil (phénomène très fréquent chez les adolescents)
- Syndrome d’avance de phase : surtout chez les personnes âgées qui ont tendance à se coucher plus tôt, le sommeil diminue et s’entrecoupe de petits épisodes d’éveil.
- Le syndrome des jambes sans repos
Il associe :
- Un syndrome d’impatience des membres inférieurs avec des sensations de picotement, ruissellement, brûlures au niveau des membres inférieurs pendant la phase de veille
- Des mouvements des membres inférieurs et de leurs extrémités pendant le sommeil qui provoquent une désorganisation de celui-ci
L’endormissement est difficile, l’insomnie tend à devenir chronique et entraîne fatigue, difficultés de concentration, troubles de l’humeur.
Conseils naturopathiques afin de limiter les troubles du rythme circadien
- Faire une cure de mélatonine peut aider à minimiser les effets du décalage horaire et les problèmes liés au travail en postes.
- Avoir de bonnes habitudes de sommeil peut aider
- L’exposition des yeux à la lumière vive à des moments appropriés peut être la stratégie la plus utile. Ces expositions aident à resynchroniser l’horloge interne. Par exemple, pour minimiser le décalage horaire, les voyageurs doivent passer du temps au soleil, particulièrement le matin, une fois arrivés à destination. Les travailleurs par quarts doivent s’exposer à une lumière vive (soleil ou lumière artificielle) au moment où ils doivent être éveillés. Le port de lunettes de soleil sur le chemin du retour à la maison réduit l’exposition à la lumière vive avant le sommeil et peut aider les personnes qui travaillent en postes à s’endormir plus facilement après leur retour chez elles. Alors que les travailleurs par quarts sont endormis, ils doivent rendre la chambre aussi obscure et calme que possible. Des masques de sommeil et des dispositifs à bruit blanc peuvent être utilisés. L’exposition à une lumière intense le matin peut aider les personnes présentant un trouble de sommeil retardé. La lumière vive le soir peut aider les personnes présentant un trouble de sommeil avancé.
- Une autre stratégie est de déplacer progressivement l’horaire sommeil-éveil vers celui souhaité. Les voyageurs peuvent bénéficier d’un changement progressif de leur horaire pour se rapprocher de celui de leur destination, en commençant bien avant le moment du voyage
Notre conseil naturo pour adopter les bons gestes :
- Préférer des repas légers le soir
- Eviter la consommation de caféine ou de sympathomimétiques ou d’autres médicaments stimulants (généralement autour du coucher, mais même dans l’après-midi chez les personnes qui sont particulièrement sensibles)
- Se détendre avant de se coucher
- Eviter l’exercice ou l’excitation (ex., émission de télévision passionnante) tard dans la soirée
- Eviter de compenser une dette de sommeil en dormant tard ou par des siestes, en effet cela fragmente ultérieurement le sommeil nocturne
- Les personnes insomniaques doivent adopter une heure de réveil régulière et éviter les siestes indépendamment de la quantité de sommeil nocturne
Les insomnies
L’insomnie est l’insuffisance ou l’absence de sommeil, qui ne permettent pas une bonne réparation. Celui-ci s’entrecoupe de réveils et d’éveils précoces.
L’insomnie d’endormissement est notamment la forme la plus importante de ces troubles. Le sujet ne s’endort pas avant plusieurs heures, conséquence d’un état anxieux, d’une mauvaise hygiène de vie (alcoolisme, tabagisme, repas trop important ou pris trop tard…) Cette forme d’insomnie peut aussi se manifester dans la deuxième partie de la nuit, après 3 heures du matin : le sujet se réveille anxieux ou dominé par des pensées obsédantes, puis finit sa nuit par un sommeil de mauvaise qualité. Il peut être la cause de céphalées pendant la journée, d’irritabilité, de somnolences.
La cogitation nocturne provoquant l’insomnie est souvent due à un effondrement des GABA.
Les principales causes :
- Hyperstimulation du système d’éveil : bruit, anxiété, traumatisme psychique, hyperactivité intellectuelle ou physique
- Facteurs psychologiques : stress, anxiété, dépression, névrose
On distingue deux types d’insomnies :
- L’insomnie aiguë qui dure de 1 à 3 semaines
- L’insomnie chronique qui se manifeste au moins 3 nuits par semaine pendant au moins 1 mois
- Conseils naturopathiques afin de limiter les crises d’insomnie :
- Préférer des repas légers le soir
- Eviter la consommation de caféine ou de sympathomimétiques ou d’autres médicaments stimulants (généralement autour du coucher, mais même dans l’après-midi chez les personnes qui sont particulièrement sensibles)
- Se détendre avant de se coucher
- Eviter l’exercice ou l’excitation (ex., émission de télévision passionnante) tard dans la soirée
- Eviter de compenser une dette de sommeil en dormant tard ou par des siestes, en effet cela fragmente ultérieurement le sommeil nocturne
- Les personnes insomniaques doivent adopter une heure de réveil régulière et éviter les siestes indépendamment de la quantité de sommeil nocturne