0
Menu

Dilutions Korsakoviennes Rocal

Filtrer
Nombre de produits : 6
Trier
Trier
Fermer
Nos marques Dilutions Korsakoviennes Rocal

Découvrez sur Soin et Nature les différences clés entre les dilutions homéopathiques hahnemanniennes (CH) et korsakoviennes (K), deux méthodes rigoureuses de préparation aux effets thérapeutiques distincts, conçues pour répondre à des besoins spécifiques en santé naturelle. Grâce à nos solutions homéopathiques Rocal-Lehning, profitez d’une prise en charge personnalisée, efficace et bien tolérée, allant du traitement symptomatique à l’accompagnement de fond.

Comprendre les différences entre dilutions homéopathiques hahnemanniennes et korsakoviennes

Dans le domaine de l’homéopathie, deux grandes méthodes de dilution coexistent : la dilution hahnemannienne, la plus connue, et la dilution korsakovienne, moins répandue mais tout aussi significative. Chacune repose sur un protocole spécifique de préparation, influençant la nature et l’intensité de l’action thérapeutique du médicament.

La dilution CH (Centesimale Hahnemannienne) consiste à prélever 1/100e d’une solution active (teinture mère) que l’on mélange à 99 parts de solvant, puis que l’on agite fortement, étape appelée dynamisation. Cette opération est répétée autant de fois que le chiffre de la dilution le précise : une 9 CH a été dynamisée 9 fois de manière séquentielle.

La dilution K (korsakovienne), quant à elle, a été mise au point par Siméon Nicolaevitch Korsakoff. Elle repose sur un principe différent : on vide totalement le flacon contenant la teinture mère, puis on considère que le résidu adhérant aux parois est suffisant pour transmettre l’information énergétique. Le flacon est ensuite rempli de solvant, agité, vidé à nouveau, et ce procédé est répété à chaque étape pour obtenir les dilutions successives (1K, 2K, 3K…).

Le protocole de dilution korsakovienne : une méthode originale basée sur la mémoire du support

Avec la méthode korsakovienne, la substance d’origine n’est pas mesurée précisément à chaque étape, comme dans la méthode hahnemannienne. C’est la présence résiduelle du produit actif sur les parois du récipient qui suffit à imprégner le solvant lors de l’étape suivante.

Voici comment cela fonctionne concrètement :

  • 1 K : le flacon est rempli de solvant après avoir été vidé de la teinture mère, puis agité.
  • 2 K : on vide ce flacon, on le remplit à nouveau avec du solvant, on dynamise à nouveau.
  • Chaque nouvelle dilution est obtenue par succession de vidanges, remplissages et dynamisations, avec un seul et même flacon.

Cette approche permet d’atteindre rapidement des dilutions très élevées, avec une économie de matière première, tout en conservant un effet global.

Table de correspondance entre les dilutions K et CH

Les dilutions Korsakoviennes et Hahnemanniennes ne se superposent pas exactement, mais il existe des équivalences approximatives pour aider les patients et les professionnels à s’y retrouver :

Dilution Korsakovienne Équivalence Hahnemannienne (CH)
6 K Environ 4 CH
30 K Environ 5 CH
200 K Environ 7 CH
1 000 K Environ 9 CH
10 000 K Environ 15 CH
50 000 K Aucune correspondance directe
100 000 K Au-delà de la 30 CH

Les dilutions K sont souvent décrites comme plus globales dans leur action que les dilutions CH, en raison de la particularité de leur méthode de fabrication. Elles sont principalement proposées pour les traitements de fond ou à visée systémique.

Nos solutions homéopathiques Lehning-Rocal :